Arrêtons la bassesse d'Amazighworld! Nous sommes un groupe d'Imazighens de toutes les régions qui suivons le débat sur l'amazighité et qui essayons modestement de réfléchir ensemble sur notre identité. Nous suivons régulièrement ce qui se diffuse à travers amazighworld.org. IL y a du bon, du moins bon et de l'exécrable.
Parmi l'exécrable, nous sommes tombés sur le texte intitulé "Comme Bouteflika, Boukous contre l'officialisation de tamazighte au Maroc". Ce texte est d'une bassesse inimaginable. ... Lire la suite - Date : 2005-03-27
Maroc, Un journal amazigh dans le collimateur L'hebdomadaire amazigh Agraw Amazigh, le premier de son genre au Maroc lancé depuis 1994, serait sur le point d'être suspendu, a-t-on appris de sources au sein de son équipe rédactionnelle.
Selon un journaliste de cet hebdo, la décision de suspension serait prise par le directeur de cette publication Ouzzin Aherdan qui aurait subi en cela des pressions de la part de la nouvelle direction de l'Institut royal de la culture amazighe; celle-ci voit d'un mauvais oeil les "critiques trop exagérées" du canard des Aherdans vis-à-vis de l'institution de A. Boukous. Debat sur le forum ... Lire la suite - - Auteur: Lahcen Anzir - Date : 2005-03-25
AMAZIGHITE DU MAROC : L'Histoire remise sur ses rails Il a fallu au journal Libération, porte parole de la secte stalinienne, une semaine pour enfin libérer ses démons dans un article et un éditorial sur le retrait de sept personnes du Conseil d'administration de l'IRCAM. Pour nous dire que « tout va bien » et défendre leur ministre l'arabiste El Malki qui, au lieu de jeter l'éponge, comme cela se produit dans tous les pays démocratiques, continuer à agiter des leurres. Car, comment comprendre qu'il ne soit pas, comme il dit, au courant du sabotage qui a visé l'enseignement de l'amazighe ? Et comment comprendre, deux ans après la convention qui le lie à l'IRCAM aucune structure sérieuse et organisée ne soit mise sur pied dans son Ministère pour suivre le dossier amazighe ? Et ou était-il pendant que ses fonctionnaires s'acharnent à faire avorter l'enseignement de l'amazighe ? ......... Lire la suite - - Auteur: Moha id Hmad - Date : 2005-03-22
Maroc, lorsque Tamazight est chassée de l'animation du trophée Khmissa Chadia Derkaoui, Professeur de linguistique à la Faculté des lettres et des sciences humaines d'Agadir, membre de l'Institut Français d'Agadir, qui a traduit la pièce théâtrale « Les Justes », d'Albert Camus, en langue Amazigh. a été élue la femme de l'année dans la catégorie "culture" à la 5e édition des trophées « Khmissa » organisé, le 5 mars 2005, au palais des congrés à Marrakech.... Lire la suite - Date : 2005-03-16
Demission de l'IRCAM, association tanukra Nador (Maroc) Cela étant, l'Association Tanukra, pour le rappeler, n'a eu de cesse d'exprimer, depuis la création de l'Institut, son refus de la manipulation et de discrimination avec lesquelles s'est déroulée sa constitution. Elle avait d'ailleurs averti l'ancien recteur de l'Institut Mr. Mohamed Chafik des manuvres fomentées contre Tamazight de la part des sans gène, partisans et mercenaires qui s'étaient intrus entre ses rangs. ... Lire la suite - Date : 2005-03-10
Maroc, IRCAM :C'est Boukous qui a trahi Jugurtha ! Mais que fait Dda Hmad à l'IRCAM. Avec Dda Brahim, Dda Lhoussaïne et Dda Hassan. Depuis l'annonce faite par sept personnes qui se sont retirées de cet organisme royal, Dda Hmad et Dda Lhoussaïne ont perdu la boule. Ils sont blêmes, se faufilent dans les recoins des ruelles pour accéder à leurs bureaux de travail. A Bouznika, ils auraient organisé un grand festin, avec les bras cassés du tissu associatif dit amazighe. Salade, hors d'uvre, plat de résistance et dessert au menu. ... Lire la suite - - Auteur: N'Ayt Salh Ali - Date : 2005-03-10
Et l'IRCAM s'explose !!! Même pas trois ans après le commencement de son travail effectif, le voilà cédé, le voilà devenir une première dans l'histoire du Maroc Moderne, jamais une institution royale n'a vécu de telle situation. En fait sept des trente deux membres du Conseil d'Administration de l'IRCAM viennent de signer une pétition de retrait collectif de l'IRCAM. Alors pourquoi, à ce moment précis? ......... par Moha AREHAL ... Lire la suite - - Auteur: Moha Arehal - Date : 2005-03-06
IRCAM: LE SURSAUT DES HOMMES LIBRES ! L'aquarium monarchique implose Ni coup de cur, ni coup de gueule. Il s'agit d'un acte responsable, réfléchi et pesé. Le retrait de sept membre du Conseil d'administration de l'Institut Royal de la Culture amazighe de cette institution constitue une secousse tellurique dont les effets ont déstabilisé les responsables du dossier amazighe dans les hautes sphères du pouvoir. Particulièrement Abdelhaq Lemrini et Meziane Belfqih l'artisan de la COSEF et de la réforme de l'enseignement et promoteur de l'intégration de l'amazighe comme auxiliaire de l'apprentissage de la langue des arabes enseignée aux amazighes. ... Lire la suite - Date : 2005-02-27
La visibilité du mouvement amazigh Tout d'abord, un constat. Il y an hiatus énorme entre la présence de Tamazight au Maroc et en Tamazgha (Afrique du nord)- et sa reconnaissance dans les texte officiels de l'état. Bien plus, ce dernier, avec un mépris à peine voilé, l'ignore superbement et fait tout, en pratique, pour la dévoyer. Le but final, la mission ultime, étant d'éradication de l'amazighité. ......... lire la suite ... Hha Oudadess (Rabat) ... Lire la suite - Date : 2005-02-25
The Arab intelligentsia and Berber revolution More than ten years ago I wrote an article supporting
demands by Morocco's Tamazight population who were at that time pressing
for their language to be recognized by the state-run media. Some responded to my article arguing that I was
not fully acquainted with the issue and that the Tamazight was only a French
claim intended to sow unrest in that part of the Arab world. I am not convinced
of the claim or justifications intended to intimidate and frighten others,
lack authenticity and are based on national or religious sentiments only.
"Le festival Timitar Signes et Culture"Festival ou manifestation ?; C'est 20h du soir on attend le prince du Maroc pour inaugurer le séance d'ouverture, des centaines de milliers sont déjà là, la foule est calme, les policiers n'ont pas du travail a faire.
Mais la foule attend avec impatience les deux stars de la chanson Amazigh et symboles de l'amazighité, le chanteur Idir de la kabylie et Abdelhadi Iggut du groupe Izenzaren du Souss.
Le prince arrive, le festival commence et Idir monte sur scène et lance un Azul pour saluer le publique, l'émotion a atteint son apogée et le festival s'est retourné a une vraie manifestation de revendication des droits culturelles et linguistiques amazighs. ... Lire la suite - - Auteur: Mohamed elouazguiti - Date : 2004-11-07
LES ARABES ET LE TERRORISME Il a donc fallu aux démocraties occidentales
vivre, en direct, la tragédie du 11 septembre, pour prendre
conscience de l'ampleur de l'internationale arabo-intégriste.
Réaliser, enfin, que les discours des régimes arabistes
sur la tolérance et le respect de l'Altérité est
un leurre.
Par MOHA MOUKHLIS ... Lire la suite - - Auteur: Moha Moukhlis - Date : 2004-10-05
Tamazight and art At the beginning of the Berber (Amazigh) civilisation, there is a people, then there are the words, then the pictures of animals and other means of living things, facts of early lives drawn on cave walls several thousands of years B.C
... Lire la suite - Date : 2004-10-01
La dignité pérdue des Imazighen Notre histoire millénaire témoigne. Le peuple amazigh ne peut être
domestiqué ni docilisé par la contrainte, le terreur et la repression.
En dépit de la marginalisation qu'il a endurée, il a toujours
refusé de se laisser berner par le mensonge des prophètes illuminés,
la démagogie et la manipulation idéologique.
"Le festival Timitar Signes et Culture"; Festival ou manifestation ? C'est 20h du soir on attend le prince du Maroc pour inaugurer le séance d'ouverture, des centaines de milliers sont déjà là, la foule est calme, les policiers n'ont pas du travail a faire.
Mais la foule attend avec impatience les deux stars de la chanson Amazigh et symboles de l'amazighité, le chanteur Idir de la kabylie et Abdelhadi Iggut du groupe Izenzaren du Souss.
Le prince arrive, le festival commence et Idir monte sur scène et lance un Azul pour saluer le publique, l'émotion a atteint son apogée et le festival s'est retourné a une vraie manifestation de revendication des droits culturelles et linguistiques amazighs. ... Lire la suite - Date : 2004-07-11
L'arabisation: une calamité nationale Quel point commun y a-t-il entre l'arabisation
et l'intégrisme? La mort!
L'arabisation relève d'une politique linguicide ; c'est une experience qu'on ne peut appliquer qu'une seule fois. Notre pays lui sert de laboratoire
et Imazighen de cobays. C'est de l'intégrisme linguistique officialisé par l'Etat marocain.... Lire la suite - - Auteur: Moha moukhlis - Date : 2004-07-02
LANGUE ET ENJEUX POLITIQUES AU MAROC DE L'ARABE COMME HYPOTHESE POLITIQUE La question linguistique, dans ses rapports au politique , est au Maroc "indépendant" facteur de crise et de dépersonnalisation; elle n'a jamais été source d'évolution. L'Etat "nationalitariste" marocain est continuellement en quête de références, car notre identité a été hypothéquée.... Lire la suite - - Auteur: Moha Moukhlis - Date : 2004-01-01
A un arabe de passage au Maroc A un arabe acculture de passage au Maroc concernant son article publié dans le journal arabophone marocain, Al Ahdat du 6 novembre 2001, et qui porte la signature d'un certain nom anagrammatique (citoyen tunisien ?) au bas gauche de la page 13 et titré : Dire à l'artiste du charabia et écrit avec un dialecte judéo-arabe à propos de l'article le Festival de la Honte écrit par moi-même... Lire la suite - - Auteur: Abdallah Aourik - Date : 2001-06-10
Nous sommes un groupe d'Imazighens de toutes les régions qui suivons le débat sur l'amazighité et qui essayons modestement de réfléchir ensemble sur notre identité. Nous suivons régulièrement ce qui se diffuse à travers amazighworld.org. IL y a du bon, du moins bon et de l'exécrable.
L'hebdomadaire amazigh Agraw Amazigh, le premier de son genre au Maroc lancé depuis 1994, serait sur le point d'être suspendu, a-t-on appris de sources au sein de son équipe rédactionnelle. 
Il a fallu au journal Libération, porte parole de la secte stalinienne, une semaine pour enfin libérer ses démons dans un article et un éditorial sur le retrait de sept personnes du Conseil d'administration de l'IRCAM. Pour nous dire que « tout va bien » et défendre leur ministre l'arabiste El Malki qui, au lieu de jeter l'éponge, comme cela se produit dans tous les pays démocratiques, continuer à agiter des leurres. Car, comment comprendre qu'il ne soit pas, comme il dit, au courant du sabotage qui a visé l'enseignement de l'amazighe ? Et comment comprendre, deux ans après la convention qui le lie à l'IRCAM aucune structure sérieuse et organisée ne soit mise sur pied dans son Ministère pour suivre le dossier amazighe ? Et ou était-il pendant que ses fonctionnaires s'acharnent à faire avorter l'enseignement de l'amazighe ? ......
Chadia Derkaoui, Professeur de linguistique à la Faculté des lettres et des sciences humaines d'Agadir, membre de l'Institut Français d'Agadir, qui a traduit la pièce théâtrale « Les Justes », d'Albert Camus, en langue Amazigh. a été élue la femme de l'année dans la catégorie "culture" 
Cela étant, l'Association Tanukra, pour le rappeler, n'a eu de cesse d'exprimer, depuis la création de l'Institut, son refus de la manipulation et de discrimination avec lesquelles s'est déroulée sa constitution. Elle avait d'ailleurs averti l'ancien recteur de l'Institut Mr. Mohamed Chafik des manuvres fomentées contre Tamazight de la part des sans gène, partisans et mercenaires qui s'étaient intrus entre ses rangs. 
Mais que fait Dda Hmad à l'IRCAM. Avec Dda Brahim, Dda Lhoussaïne et Dda Hassan. Depuis l'annonce faite par sept personnes qui se sont retirées de cet organisme royal, Dda Hmad et Dda Lhoussaïne ont perdu la boule. Ils sont blêmes, se faufilent dans les recoins des ruelles pour accéder à leurs bureaux de travail. A Bouznika, ils auraient organisé un grand festin, avec les bras cassés du tissu associatif dit amazighe. Salade, hors d'uvre, plat de résistance et dessert au menu. 
Même pas trois ans après le commencement de son travail effectif, le voilà cédé, le voilà devenir une première dans l'histoire du Maroc Moderne, jamais une institution royale n'a vécu de telle situation. En fait sept des trente deux membres du Conseil d'Administration de l'IRCAM viennent de signer une pétition de retrait collectif de l'IRCAM. Alors pourquoi, à ce moment précis? ......... par Moha AREHAL 
Ni coup de cur, ni coup de gueule. Il s'agit d'un acte responsable, réfléchi et pesé. Le retrait de sept membre du Conseil d'administration de l'Institut Royal de la Culture amazighe de cette institution constitue une secousse tellurique dont les effets ont déstabilisé les responsables du dossier amazighe dans les hautes sphères du pouvoir. Particulièrement Abdelhaq Lemrini et Meziane Belfqih l'artisan de la COSEF et de la réforme de l'enseignement et promoteur de l'intégration de l'amazighe comme auxiliaire de l'apprentissage de la langue des arabes enseignée aux amazighes. 
C'est 20h du soir on attend le prince du Maroc pour inaugurer le séance d'ouverture, des centaines de milliers sont déjà là, la foule est calme, les policiers n'ont pas du travail a faire. 
Notre histoire millénaire témoigne. Le peuple amazigh ne peut être
domestiqué ni docilisé par la contrainte, le terreur et la repression.
En dépit de la marginalisation qu'il a endurée, il a toujours
refusé de se laisser berner par le mensonge des prophètes illuminés,
la démagogie et la manipulation idéologique.
Quel point commun y a-t-il entre l'arabisation
et