Ces derniers temps, on a enregistré au Maroc dans les réseaux sociaux (Facebook, tweeter, WhatsApp ..) une compagne d’information féroce lancée par les commerçants Amazighs contre les femmes voilées.
Armés de leur caméra de surveillance, dont ils ont tous dotés leurs commerces et magasins sans exception grâce aux produits chinois, ces commerçants Amazighs se sont lancés sans âme à dévoiler les techniques utilisées par les femmes voilés pour voler les magasins.
Cela a fait une tache d’huile, car dans l’image social et culturelle traditionnelle marocaine un Hajj, un cheikh, un barbus ou une femme voilée sont des gens pieux qui ne volent pas, ne trichent pas et ne font même pas de pêché. Ils n’incarnent que la bonté et tout le mal du monde est chez les autres. Les non vrai musulman, c’est-à-dire les islamistes. C’est pour cette raison que la personne qui a visité les lieux saints insiste a ce qu’on lui change de nom par le Hajj. Cela inspire la confiance au sein de la société.
Mais ceci avant que l’occident invente la caméra et que les chinois la fabrique au moindre prix. En effet dans cette vidéo rendue publique par un commerçant, une femme en Bourqa a dû lui voler plusieurs pièces de pain rond avant d’acheter une. Ce n’est que le soir en revenant a ces enregistrements qu’il découvre la surprise. Pour alerter ces collègues de métier, Il a dû édité la vidéo la commenter et la publier pour faire tache d’huile. Il dit clairement « chers collègues du métier, faire plus attention aux femmes voilées ».
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