

Il y a seize maintenant, les organisations de l’Islam politique ont orchestré deux attentats politiques meurtriers historiques espacés d’une seule journée : un à Afghanistan et l’autre à New York.
Afghanistan, le dimanche 9 septembre 2001 : deux terroristes tunisiens du parti Ennahada ont assassiné le héros national Afghan le commandant Ahmad Shah Massoud. Ils sont Dahmane Abd el-Sattar (mari de l'islamiste Malika El Aroud d'origine marocaine) et Rachid Bouraoui el-Ouaer, deux hommes vivant à Bruxelles, en Belgique. Ils ont pu approcher Massoud grâce à une lettre de recommandation du Centre d'observation islamique (organisation basée à Londres). Ce qui pose beaucoup de question sur l’alliance des ONG musulmanes pacifiques avec les terroristes et l’international islamique. Ils se sont fait passer pour des journalistes munis de faux passeports belges et équipés d'une caméra volée à France 3 à Grenoble. Le faux cameraman Bouraoui el-Ouaer fait exploser la ceinture de TNT scotchée sur son ventre. Ahmad Shah Massoud n’est plus.Avant sa mort, il avait fait le péché des Islamistes : Le 2 juillet 2000, il reçoit une délégation de femmes dans la vallée du Pandjchir et signe la Charte des droits fondamentaux de la femme afghane, rédigée et promulguée quelques jours plus tôt à Douchanbé (Tadjikistan) par des Afghanes en exil, à l'initiative de l'association NEGAR-Soutien aux femmes d'Afghanistan.
New York, le mardi 11 septembre 2001 : Quatre avions de ligne américains sont détournés par des pirates de l'air. Deux d'entre eux s'écrasent contre les tours du World Trade Center : symbole de l’orgueil new-yorkais. Le troisième s'écrase sur le Pentagone et le quatrième au sol.
Le message politique est que 70% des terroristes sont des saoudiens. Mais depuis lors, se sont les autres nationalités qui sont chargé du sale boulot des leaders du moyen orient. La commission d’enquête constituée par le congrès américain a fait sortir deux ans plus tard en 2003 un rapport d’enquête où 28 pages se sont retirés ! La cause avancée est le « secret d’état ». Juste après, l’association des victimes du 11 septembre taxe le FBI d’être le commanditaire. Cette information va faire le buzz dans les TV du moyen orient pendant quinze. Mais la veille du 15emme anniversaire du 11 septembre et sous la pression des ONG américains qui ont taxé Obama de soutenir le moyen orient contre l’Amérique vu ses origines musulmanes, en plus de la pression des élections présidentielles, Obama a finalement signé la levée du secret d’état sur les 28 pages.
L’association des victimes les a tout de suite publiés sur un site dédié à l’évènement, où on peut les télécharger au lien 28pagesdotorg.
Le choc de l’implication de l’Arabie Saoudite via son ambassadeur aux USA a fait un grand écho. Surtout que l’ambassadeur saoudien le prince Bandar bin Sultan était un ami intime de W Bush et c’était ce dernier qui avait demandé le secret d’état sur les 28 pages. Les médias américains ont tout de suite fait circuler cette photo, en parlant à l'ancien président George W. Bush au Ranch de ce dernier à Crawford, au Texas, en Août 2002.

Ces 28 pages révèlent qu’il y a une relation entre les attentats du 11 septembre et le gouvernement d’Arabie Saoudite. Ce qui a fait bouleverser l’opinion publique américain. Parmi ces révélations on trouve :
- Le prince Bandar –ambassadeur saoudien aux états unis- a fait des paiements bancaires à un partisan avoué d'Oussama ben Laden qui se vantait d'avoir aidé les deux pirates de l’air des avions 77 à San Diego.
- Un numéro de téléphone confidentiel étroitement lié à l’ambassadeur Bandar a été trouvé dans l'annuaire téléphonique d’un membre d'Al-Qaïda Mr Abu Zubaydah au Pakistan.
- Abou Zubaydah a aussi un numéro de téléphone d’un garde du corps à l'ambassade d'Arabie Saoudite à Washington. Ce dernier était sous une enquête du FBI déclenché par son comportement suspect lorsqu’il a voulu approcher du personnel de la communauté de renseignement américaine.
Quelques mois plus tard, une loi est rédigée et votée par le congrès à presque 100% malgré le veto d’Obama, elle a donc passé. C’est la loi JASTA (justice contre les sponsors des attaques terroristes du 11 septembre). Cette loi permet à la justice américaine de juger des états souverains s’ils sont impliqués dans les attentats du 11 septembre.
Les estimations des pertes américaines du 11 septembre s’élèvent à 3000 milliards de dollars. Juste l’état de New York toute seule demande 100 milliards de dollars.
Le prince saoudien Mohamed Ben Salmane, après avoir menacé les états unis de retirer les 700 milliards de dollars saoudien en USA si le congrès vote la loi JASTA. Mais cette menace n’est jamais exécutée. Au contraire, le président TRUMP est invité en Arabie et a eu un chèque de 400 milliards de dollars.
Tout de suite, l’association des victimes du 11 septembre monte au créneau, et clarifier que les 400 milliards n’ont rien avoir avec les 3000 milliard de dommage qu’elle demande via la justice.
Du coté saoudien, un secours est déjà prévu. À l’Isnard de son homologue Libyen Mouammar Kadhafi, qui après une décennie du renait de l’attentat de Lockerbie, a finalement constitué un fond Libyen qui va financer le jugement par la suite. De même Mohamed Ben Salmane a annoncé la nouvelle vision Saoudienne 2030 qui consiste à vendre la société pétrolière saoudienne ARAMCO à 3000 dollar et constituer le plus grand fond d’investissement au monde.