Las d’attendre que les médias français et bretons, subventionnés jusqu’à la moelle, esquissent un mouvement de dignité, j’adresse ces extraits de mes archives – déjà publiés dans une chronique de mes blogs -, à M. Bernard POIGNANT, conseiller de François Hollande à l’Elysée, à M. MELENCHON, ancien ministre, à M. LEFUR, vice président de l’Assemblée nationale française, et à quelques autres, qui nous humilient par leur silence sur ces faits atroces, qu’ils connaissent pourtant. Tous les journalistes du journal le Monde les reçoivent également, ainsi que les « hystoryens » bretons, qui ne nous ont jamais rien dit sur ces abominations, et qui continuent à se taire. Je fais partie des victimes de l’enseignement pervers dispensé par les écoles françaises. J’ai moi-même tout ignoré de l’histoire de mon pays jusqu’à l’âge de trente ans, parce que ces exploits de la France étaient dissimulés avec le plus grand soin. Mon cerveau a été lavé et trituré abondamment, comme celui des autres Bretons. A trente ans passés, la recherche historique m’a permis de renouer avec mes racines.
La France d’après 1789 a été un vaste camp de concentration, dans lequel l’école inculquait à coups de marteaux une histoire entièrement remodelée, toute entière à la gloire du colonisateur.
La publication des atrocités qui suivent rend impossible le maintien de la Bretagne dans les limites territoriales de son tortionnaire : elles vont être diffusées, par internet, à des centaines de milliers d’exemplaires.
Mieux : les Français qui ont lu ce texte, ne peuvent même pas supposer que leur pays, la France criminelle possède le moindre droit en Bretagne; elle n’en a jamais eu, elle doit partir de ce magnifique pays, qu’elle continue à ruiner par les gens aberrants qu’elle porte au pouvoir, ceux qui ont mérité le surnom de pieds nickelés, aucun d’entre eux n’ayant jamais exercé le moindre métier, autre que celui faire des combines politiques qui leur permettent de dévorer les contributions des malheureux qui doivent encore les supporter.
On ne traverse pas indemne ces épreuves. Comme les Juifs, qui publient chaque année des milliers d’ouvrages sur la shoah, ces souvenirs affreux hantent la conscience des Bretons.
Herbert Pagani a écrit que les Bretons sont les Juifs de la France. Rien n’est plus vrai. Les Juifs ont été persécutés dans tous les pays d’Europe. Ici, c’est la France qui est l’auteur unique de la shoah bretonne.
Pauvres Bretons : violés par la colonisation, vous l’êtes par les vôtres : aucun d’eux ne parle. Aucun député, aucun sénateur. Surtout pas Le Drian, Lebranchu, Ayrault. Notre honte est absolue. M. Poignant, ancien maire de Quimper, transmettra ces textes, sans aucun doute, à son ami François Hollande. M. Mélenchon s’interdira désormais de parler des Bretons comme il le fait; il a l’excuse, lui, d’être ignorant de ces faits. M. Lefur continuera à se taire, car il est maintenant trop tard pour lui et pour les autres de parler, et de faire semblant de s’indigner. M. Valls est au courant de ces atrocités, car les Espagnols en ont fait autant durant la guerre civile, peut-être davantage. Mais de jeunes Bretons décidés, pacifiques et défenseurs de la Dignité de l’homme, soucieux de la légalité internationale, comme je le suis depuis que j’ai pris conscience des faits et des choses, vont diffuser maintenant ce qui a été caché à tous; par la République auto-proclamée des droits de l’homme, ce pays fameux qui a apporté la Liberté au monde, selon les affirmations furieuses de ses thuriféraires menteurs.
Louis Mélennec, docteur en droit et en médecine, historien de la Bretagne.
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